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Mavie aime

  • Prendre les ronds points à vélo
  • Mettre France Inter en fond sonore
  • Boire du vin chaud dans la rue
  • Manger devant l'ordinateur
  • "Et on tuera tous les affreux" de Sullivan (Boris Vian)
  • Choisir
  • Boire une théière entière

Mavie rêvée

 

"...Je suis tortue et je suis belle
                 Il ne me manque que des ailes
                            Pour imiter les hirondelles..."
                                                                      Desnos


                                                

C'Est ÉCrit

Mavie n'aime pas

  • Se sentir incomprise
  • Les petits pois
  • Parler à quelqu'un qui n'écoute pas
  • Avoir l'air bête
  • Etre réveillée par ses voisins très tard ou très tôt
  • Ne pas oser
8 décembre 2006 5 08 /12 /décembre /2006 23:01
1er cas : Les capotes pas chères


L'autre jour, j'ai entendu le ministre de la santé, Xavier Bertrand pour ceux qui suivent, se féliciter de la mise en vente de préservatifs à 1€ les 5 chez les buralistes.

Moi, je me suis dit aussi que c'était une sacré bonne idée.
Ca m'a fait penser aux campagnes de prévention, aux capotes à 1Fr quand j'étais ado. Je me demandais il y a pas longtemps comment faisaient les ados actuels. Il y a plein d'endroits où on peut avoir des capotes gratuites mais quand même, la démarche d'en demander (ou d'en acheter) est pas toujours évidente. Je l'avoue d'ailleurs, pour moi elle ne l'est toujours pas. C'est comme si mon intimité se trouvait dévoilée.
Bref, donc je trouvais que c'était une bonne initiative de vendre 5 capotes pour un euro.
Comme je devais en acheter, je me suis dit que c'était l'occasion de les prendre chez ma buraliste (ou un autre, mais finalement, ça a été la mienne).
Et puis, en rentrant chez moi, j'ai vu qu'une partie du prix était reversé à AIDES. Bien. Et puis, j'ai cherché le logo du ministre de la santé ou bien de la République française, en fin vous m'avez compris, un signe que l'Etat avait aidé à réduire le prix dans une action de santé publique.
Mais rien... C'est "Entrevue" qui y a marqué... Oui, le magazine à potins hard qui semble avoir des visées altruistes...ou marketing.
Pour info, et après recherche sur le net, il y a bien des capotes "gouvernementales" mais elles sont en expérimentation dans certains lieux seulement (au cas où ça fasse un flop??)...




2ème cas : Toulouse dans Libé


Des articles gentillets dans le Libé de ce vendredi spécial Toulouse. En gros, peu de choses dites sur l'expulsion de squatts culturels, un peu plus sur le combat des chefs de droite pour les prochaines municipales. Et suite à ça... Une pleine page blanche avec au milieu une brique rose disant que la ville de Toulouse soutient la presse et surtout Libé. Comme je suppose que cette page n'est pas gratuite (à moins qu'il ne se soit pas passé suffisamment de choses dans le monde pour remplir le journal, c'est vrai...mais j'ai un doute!), je me dis que le côté spécial Toulouse, c'est un peu comme les pubs du Point, l'argument de vente qui plait au moins aux locaux...Mais c'est pas le Point que j'ai acheté!






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29 novembre 2006 3 29 /11 /novembre /2006 19:48
Un jour dernier, en lisant les notes d'Anne Chiboum et de Samantdi sur les harpons, filets à papillons et autres métaphores de l'accroche sentimentale, je me remémorais toutes les fois où j'avais refusé de me laisser prendre. Au harpon ou au filet.
Moi aussi, j'avais regardé ailleurs pour plus de facilités.Souvent parce que je crevais de trouille devant ce qui m'était adressée (tournant la tête pour regarder derrière : "Pour moi? Vous êtes sûre? ça m'est adressé à ...moi?). J'annulais rétroactivement les effets en feignant d'ignorer la manoeuvre. Je fuyais.
Il m'est déjà arrivée de harponner aussi mais c'est plutôt rare. Le résultat en a toujours été décevant. Mes désirés ont-ils eux aussi eu la trouille?
Le filet à papillons, cette poésie que l'on cache derrière son dos, et que l'on agitement tendrement par à-coup, essayant de paraître déterminée et nonchalante à la fois, je l'ai utilisé des fois. Plus souvent.
Mais là aussi, mon regard se posait ailleurs, très loin, quand parfois, un désiré allait se faire prendre. La trouille encore une fois. Je n'assumais pas ce désir : et s'il n'était pas réciproque? je serais ridicule. Je suis ridicule. "Non c'est pas moi qui...Non, c'est pas ce que je voulais dire..." Un pas en avant, deux en arrière.
L'autre jour donc, je me suis remémorée les quelques uns que j'avais fuis. Pas de regrets mais plein de pensées sur le thème : il faut que j'arrête d'éviter ceux qui me désirent, que je me (leur) laisse l'opportunité d'une meilleure rencontre, du dépassement d'une première impression. Bien point derrière cette pensée son pendant personnel : il faut que j'essaie d'assumer mes désirs, sans regarder ailleurs, sans m'éfondrer ou fuir.
C'est sur ces paroles pleines de sagesse que je me suis rendue ce soir-là à une soirée.  Les harpons, les filets, je les ai détectés avec ce regard nouveau. Et...une belle rencontre, d'un enthomologiste peu assuré. Des harpons de chasseurs plus expérimentés laissés de côté.
Une belle nuit d'amour à l'arrivée.



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24 novembre 2006 5 24 /11 /novembre /2006 18:26
...C'était trop bien...
Mes remerciements au contrôleur qui a eu la délicatesse de me caresser l'épaule avec un "excuse-moi" pour me demander à moi, salariée assoupie par une nuit trop courte, mon billet...Avec une voix et un ton si doux...
Quand au machiniste qui m'a souri en me disant "bonjour"...
[je partage le point de vue d'Artémisia, sur certaines rencontres en transports en commun].



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19 novembre 2006 7 19 /11 /novembre /2006 12:53
C'est nul comme blague, je sais...
Mais quand j'ai entendu le buzz fait il y a quelques jours autour de Nicolas Hulot, je n'ai pu m'empêcher de penser : "Mais moi, ça fait une dizaine d'années que je me douche qu'avec du gel douche Ushuaïa..."
C'est nul comme blague. Mais c'est vrai. Pour l'exclusivité du gel douche.
The révélation : elle n'utilise que du Ushuaïa.
Ca a commencé il y a une dizaine d'années donc. Un mélange de circonstances : première colo en tant qu'animatrice, prise d'indépendance, peu d'estime de moi...
Je bossais pour la première fois donc, 18 ans à peine dans une colonie de vacances  située dans une école nouvelle qui organisait des séjours l'été pour rentrer dans leurs frais. Ambiance familiale. Mais travail dur, très longues journées, réunions de réflexion tous les soirs jusqu'à minuit passé.  Moi, j'étais très fière d'avoir été  embauchée, j'adaorais ce boulot, je me donnais à fond.  On était 4 anims à se partager une chambre.  Donc peu d'intimité.  Et la douche a donc pris une importance...importante.  Le seul moment d'intimité en gros de la journée. Seule avec moi-même ("en tête à tête avec moi-même..." comme le dit M).
A une période où d'autres choses se jouaient : mes parents envers lesquels je me rendais compte que mon attachement, voire ma dépendance n'avait d'égal que leur indifférence. Je n'arrivais pas à m'en sortir. J'acquièrais un nouveau statut en colo. Je travaillais, je gagnais mon indépendance. Je devenais moi. Seule avec moi-même mais face à d'autres.
Et puis, j'avais toujours cette impression d'être moins bien que d'autres et entre autres, de sentir moins bon. Ushuaïa, à l'époque, c'était des parfums originaux aux noms exotiques. Et une odeur qui tenait sur ma peau un peu plus que les autres gels douche. J'adorais le petit "quatrième de couv" du flacon. Du style, "C'est sur l'île  .... du Pacifique, que depuis des générations  les habitants extraient des plantes... une essence à l'odeur délicate et aux vertus régénérantes. La recherche Ushuaïa s'est nourrie de cette tradition pour vous proposer, en l'associant à un savon au Ph neutre, un gel douche hydratant au parfum inoubliable...".  Ylang-Ylang, Orchidée, mangue, noix de coco, grenadine, ... Les parfums ont évolué, se sont standardisés. Le texte est devenu plus classique. Un effet de la mondialisation?
En tout cas, pour moi, les parfums de ces douches restent attachés à ce moment, à ces moments particuliers de ma vie où je me retrouve seule avec moi-même.Indépendante. Chaque parfum est lié à un lieu, à une histoire. Parfois le plus petit dénominateur commun de deux ambiances.



(en ce moment, je fais un élevage)


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6 novembre 2006 1 06 /11 /novembre /2006 15:05
...Lisez le magazine "E..." de cette semaine!
La recette est simple et infaillible:
- Plein de conseils beauté des meilleurs coiffeurs (ceux qui coiffent les stars!).
-Plein de conseils en maquillage par les meilleurs maquilleurs (ceux qui maquillent les stars)
-Une bonne dose de publicité en long et en large dans et hors article
-dans la même rubrique, les meilleures adresses pour acheter les plus beaux habits (quoi? on peut être belle qu'à Paris??)
-Plein de photos pour savoir comment être belle (il suffit de ressembler à la personne sur la photo)
Et voilà!
Le tour est joué!
Je suis belle, je suis belle, je suis belle!


Mais...
Car il y a un mais...
Les lecteurs (-rices) fidèles du magazine me renverront probablement que ça n'est pas si simple.
Et ils auront raison.
Etre belle, c'est sympa. Mais être "irrésistible", "femme fatale", "celle qui les fait tous craquer", c'est mieux , non?
Et comme "E..." pense à tout, il y a régulièrement un article qui nous explique comment avoir ce petit truc en plus qui nous fait passer de "pas mal" à "super canon". C'est souvent un article au ton assez marrant. Généralement, l'auteur se place dans notre peau à nous, les pauvres lectrices qui malgré la lecture assidue des conseils, photos et autres  dudit magazine, avons sous nos yeux un spécimen voire une copine du genre de celle décrite plus haut. Et pour ne pas être en reste, il y a analyse des comportements de la donzelle pour mieux cerner le stratège.
Moi, j'ai lu plusieurs articles comme ça.
Et la conclusion est toujours surprenante. En effet, généralement, l'auteur en conclut, que ce qui est souvent le plus séduisant...c'est d'être soi-même.
Un pointe d'authenticité dans un monde de stéréotypes.
J'y  vois une contradiction amusante entre ces deux flux contraires : un désir de perfection esthétique, purement superficielle et un besoin d'originalité, de profondeur.
Mais dans le carnet d'adresses, toujours pas de coordonnées de psychothérapeutes...



PS : En ces temps mornes, de baisse de morale latente (me concernant), que ceux qui ont lu cette note apprécient à sa juste valeur cet espace de légèreté...





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31 octobre 2006 2 31 /10 /octobre /2006 09:35
Croque

Texte : Thomas Fersen
Musique : Thomas Fersen

Extrait de l'album : Pièce montée des grands jours

 

Quand je rentre à la maison,
Elle me dit souvent
Que j'ai une tête d'enterrement
Et elle a raison,
Je travaille au cimetière,
C'est inconstetable,
Je laisse ma tête au vestiare
Et je me mets à table.
Faut pas se laisser abattre,
J'ai une faim de loup,
Moi je mange comme quatre
Et je bois comme un trou
Puis je retourne au cimetière
Travailler d'mon mieux,
Digéérer mon pot de bière
Et mon croque monsieur.

Pendant l'oraison du prêtre
J'ai un petit creux,
Moi je pense à ma côtelette,
À mon pot-au-feu.
Aux prmières couronnes de fleurs
J'ai déjà la dent,
C'est mon estomac qui pleure
À chaque enterrement.

Comme un côté du cimetière
Est inhabité,
J'ai planté des pomems de terre
Dans l'intimité.
Et dans ma jaquette noire,
Entre deux services,
Je donne un coup d'arroisoir
Et je cours à l'office.
Je gratte, je bine et je bêche,
Quelle heureuse surprise
Quand je trouve un ver pour la pêche,
Je range ma prise
Dans une boîte en fer blanc.
Le temps est superbe,
Voilà un coin épatant
Pour déjeuner sur l'herbe.

À présent qu'a sonné l'heure
L'heure du goupillon,
Je pense à mes pomems vapeur,
À mon court-bouillon
Et quand tombent les premières gouttes
Sur mon haut-de-forme,
C'est mon ventre qui glougloute,
Mon ventre qui grogne.

Parfois je croque un oignon,
Parfois une gousse d'ail,
Parfois même un champignon
Est une victuaille,
Il faut faire avec,
Ce n'est pas copieux
Car ces oraisons du prêtre
On en voit pas la queue.
Le vent chasse les nuages,
C'est providentiel,
Un grand disque de fromage
Tourne dans le ciel,
La faim me monte à la tête,
J'avale mon chapeau,
Un bouton de ma jaquette
Et un pauvre mulot.

Je n'suis pas dans mon assiette,
Je vais rendre l'âme,
Quand je pense à mes paupiettes,
À mon croque-madame.
ça fait trop longtemps qu'ça dure,
Je m'allonge un peu
Sur le tapis de verdure
Et je ferme les yeux.



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19 octobre 2006 4 19 /10 /octobre /2006 19:01
Une rencontre vaut plus que mille rendez-vous...

Oui, oui et encore...oui!

[je ferais plus long prochainement...]

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15 octobre 2006 7 15 /10 /octobre /2006 20:27
Voici ce que j'ai reçu l'autre jour au courrier...



ça me sidère...On n'arrête donc pas le progrès...ni les occasion de consommer un peu plus, toujours de l'essentiel, bien sûr!
Au cas où je ne serais pas capable toute seule de décider comment m'habiller, me voilà pourvu d'une petite liste indicative, style contrôle technique de garde-robe. Bien sûr, la balle est dans mon camp : je peux choisir par exemple de me priver de robes ou de chemise, il suffit pour cela de ne pas les cocher...
Mais quand même, le marketing de ce type me surprend toujours un peu plus. Il y a des trucs très drôles (au second degré) ;  par exemple, ces enveloppes où se cumulent des faux documents confidentiels du responsable du service commerciale indiquant une décision exceptionnelle prise à notre égard pour nous remercier de notre non moins exceptionnelle fidélité : -30% sur l'article de notre choix hors coins verts et un superbe couvre-lit patchwork de 1m20 sur 1m30 (qui doivent savoir destiner à la banquette arrière de la voiture en protège-siège de fortune, vu les dimensions!)! Sans parler des fausses loteries où l'on a toujours le numéro gagnant... qui nous permet de participer au tirage au sort pour la voiture.
Cette année, vu une réduction de mes moyens financiers de toutes façons, j'achète le strict minimum. Après, je recycle, recouds, décore, brode...
Non, je crois que ce qui m'impressionne au fond, c'est peut-être que des personnes trouveront que c'est une bonne idée au fond. Une liste de vêtements, un trousseau (comme ceux des colonies de vacances) établi par quelqu'un qui nous veut du bien, qui veut nous aider à être bien cet hiver...
Mazette! Un peu plus et j'allais oublier le remplacement de mes tuniques...


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12 octobre 2006 4 12 /10 /octobre /2006 21:08
Ne plus supporter de regarder des films depuis environs 6 semaines et se rabattre du coup sur des DVD récapiltulant les exploits de 6 "Friends" à New York.

C'est grave docteur?

Indices : Retour de voyage, Non-épanouissement dans travail, sentiment de solitude pesante, prise de conscience compliquée, vie sociale et relationnelle en mouvement...




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4 octobre 2006 3 04 /10 /octobre /2006 13:57

Je dédicace cette note à un inspecteur du travail récemment privé de droit d'expression. Merci pour ses textes, sa sensibilité, ses convictions et son courage.

Les questions existencielles liées au chômage ( pourquoi  moi?) ainsi qu'au célibat (pourquoi pas moi?) [et vice versa] m'ont cependant beaucoup affectées. Elles étaient comme des signaux me rappellant à la difficile réalité. Difficiles remises en cause quand on ne détient finalement pas seul les paramètres de notre destin.

Mes années de chômage avec leurs intermittences.

Presque jamais complètement sans boulot. Mais jamais à 100% mon métier.Je ne voulais pas passer ma vie à la gagner comme on dit. Je voulais juste travailler. Paradoxalement, je me sentais libre  et il me semblait que cette liberté, par exemple de rester vivre au lieu où je souhaitais, devait s'accompagner  d'un prix à payer: la précarité. Il y avait pire que moi: les personnes qui n'avaient pas ou plus cette liberté . Je n'avais pas d'attache familiale, pas d'enfant en bas âge auprès de qui rester. Tant d'autres que moi quittait leur chez soi, leurs fiancés pour un boulot et moi, non. J'acceptais un peu mieux cette vie faite de petits boulots, pas si galères pour la plupart. L'occasion de rencontrer des gens, de voir d'autres choses. J'ai tenu, maintenant, je le sais, car pour moi, il y avait un ailleurs, un futur après. Contrairement à certaines collègues qui devenaient aigries, ayant l'impression d'être dans des impasses.
Comme je le racontais il y a pas longtemps sur le blog du Monolecte, j'en suis même arrivée à me solder, pour avoir un job. Niveau estime de soi, on repassera.
Sur le chemin d'un retour de vacances, mon fiancé de l'époque me demanda ce que je faisais la semaine suivante. J'en aurais pleuré. Retour sur Terre , atterrissage sans parachute.
La semaine prochaine? Comme celles précédant mon départ en congès. Attendre que le téléphone sonne. Si c'est le cas, négociez une heure pour arriver sur place. Trouvez nimporte quoi à dire pour arriver un peu plus tard (temps de trajet+bouchons+douche à prendre+rdv pris pour la journée à annuler) sans trop exiger non plus. Sinon, les coups de fil d'espaceraient. Annuler tout au dernier moment. Vivre au jour le jour. Avec encore une fois une estime de m...
Jusqu'au jour où je me suis mise à exiger. Je me sentais de nouveau respectable. Je ne me solderai plus, je méritais d'être considérée correctement au vu de mon travail! J'ai commencé à lire autre chose sur le visage de mes responsables...peut-être du respect...
J'ai défini mes priorités, dans ma vie en général et entre autres, professionnelle. J'étais dans une période où je souhaitais me poser quelques temps, arrêter cette précarité temporelle qui me rendait chèvre. Et puis, je voulais exercer mon métier, apprendre, m'enrichir...J'ai donc tranché et j'ai finalement trouvé un boulot qui me coûte beaucoup à plein de niveaux mais qui correspond à mes envies du moment et qui m'enrichit de toutes façons (à différents niveaux aussi). Je continue à regarder autour de moi...Peut-être bientôt un autre choix...

à suivre...

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