17 mai 2009
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19:33
La journée s'annonçait bien remplie : plusieurs personnes à voir et les derniers achats peut-être avant mon départ le lendemain.
Je me suis rendue toujours dans des lieux dont j'avais entendu parler sur des blogs de couture, ai découvert de jolies atmosphères cette fois, des rideaux de fer baissés d'autres fois (un samedi au Sentier...).
Et puis, j'ai marché, beaucoup, dans des endroits que je ne reliais pas mentalement : j'ai découvert que la Bastille était tout près du Marais par exemple.
J'ai mangé chez Marianne, profitant de la conversation de mes voisins de file d'attente.
Et puis l'arrivée au premier point de rdv, la crainte d'un lapin, un malentendu d'heure finalement. Pendant l'attente, le temps de me sentir pas très à l'aise, de plus savoir trouvé mes mots, de me sentir un peu (beaucoup) bête. Et mon amie qui me raconte les nombreuses difficultés vécues par elle depuis notre dernière rencontre. Moi, réalisant qu'il m'est arrivé beaucoup de jolies choses ces derniers temps. Alors pourquoi ce malêtre, ces derniers jours? Peut-être que Paris, comme ça, en vacances et seule, j'en viens un peu à bout. Peut-être que ça devient un voyage sans désir. Peut-être qu'il faudrait que j'attende que ça me manque, ne plus y aller par habitude. Ou seule. Y retourner avec lui. Quand on pourra.
Et plus tard dans l'après-midi, retrouver la foule d'une ville de banlieue métissée. Apprécier, discuter, donner des nouvelles. Me sentir bien dans la conversation avec des personnes qui m'ont toujours estimé. Se dire qu'on se reverra vite, ici ou ailleurs.
Demain, c'est le dernier jour.
Je me suis rendue toujours dans des lieux dont j'avais entendu parler sur des blogs de couture, ai découvert de jolies atmosphères cette fois, des rideaux de fer baissés d'autres fois (un samedi au Sentier...).
Et puis, j'ai marché, beaucoup, dans des endroits que je ne reliais pas mentalement : j'ai découvert que la Bastille était tout près du Marais par exemple.
J'ai mangé chez Marianne, profitant de la conversation de mes voisins de file d'attente.
Et puis l'arrivée au premier point de rdv, la crainte d'un lapin, un malentendu d'heure finalement. Pendant l'attente, le temps de me sentir pas très à l'aise, de plus savoir trouvé mes mots, de me sentir un peu (beaucoup) bête. Et mon amie qui me raconte les nombreuses difficultés vécues par elle depuis notre dernière rencontre. Moi, réalisant qu'il m'est arrivé beaucoup de jolies choses ces derniers temps. Alors pourquoi ce malêtre, ces derniers jours? Peut-être que Paris, comme ça, en vacances et seule, j'en viens un peu à bout. Peut-être que ça devient un voyage sans désir. Peut-être qu'il faudrait que j'attende que ça me manque, ne plus y aller par habitude. Ou seule. Y retourner avec lui. Quand on pourra.
Et plus tard dans l'après-midi, retrouver la foule d'une ville de banlieue métissée. Apprécier, discuter, donner des nouvelles. Me sentir bien dans la conversation avec des personnes qui m'ont toujours estimé. Se dire qu'on se reverra vite, ici ou ailleurs.
Demain, c'est le dernier jour.